LES 3 ÉTAPES POUR CHANGER DE PROGRAMME ET RÉUSSIR

La crise du COVID a entrainé mondialement des conséquences économiques exceptionnelles. Cette récession historique plus forte qu’en 2008 et la contraction mondiale du PIB de plus de 10 % sont les deux indicateurs que retiennent les économistes pour parler de « désastre économique ». Dans ce contexte, le « retour comme avant » tant attendu semble si lointain. La gestion des crises a, par ailleurs, mis en lumière l’irrationalité de nos choix instituant l’émergence de l’économie comportementale. Dans ce contexte très particulier, cet article a pour objectif de vous partager les 3 étapes communes réalisées par celles et ceux qui ont réussi à développer leur entreprise dans des périodes aussi instables que celles que nous vivons aujourd’hui. Avant tout, pour comprendre leur utilité, il est indispensable d’avoir à l’esprit les principales causes d’échec d’un projet ou d’une entreprise.

Les causes d'échecs liées au dirigeant

82 % de la mortalité des PME est due à des décisions administratives ou stratégiques inadéquates et à un manque de compétences ou d’expérience du dirigeant. Dans les causes d’échecs imputables au dirigeant, il existe 3 dominantes : la création, l’environnement et les finances.

Causes liées à la création

Tout d’abord, les entrepreneurs ont tendance à surestimer la viabilité de leur idée et ils ne prennent pas la précaution de l’évaluer. Dans leur précipitation et dans un contexte économique très volatile, ils commencent souvent les premières démarches de la création sans s’assurer que leur perception du marché n’est pas biaisée.

Enfin, une cause d’échec très fréquente repose aussi sur un manque de confiance en soi et un manque de créativité. Ainsi, en hésitant à prendre certaines décisions et en évitant toute innovation, le projet s’arrête souvent très vite.

Causes liées à l’environnement

Dans de très nombreux scénarios d’échecs, les conflits ou l’opposition de la famille ont été un frein pour le projet. C’est par exemple très souvent le cas quand une personne quitte un emploi stable pour se lancer dans une nouvelle aventure.

Causes liées au financement

L’entreprise est souvent amenée à s’endetter considérablement pour combler l’insuffisance des capitaux propres. De plus, peu d’entrepreneurs utilisent le plan de trésorerie comme un outil de gestion. Enfin, les entreprises connaissant une structure de bilan déséquilibré, ont tendance à recouvrir un crédit à court terme, pour combler l’insuffisance du fond de roulement.

Les causes d'échecs liées à l'entreprise

Les problèmes commerciaux

Marché mal ciblé, clientèle potentielle surévaluée, délais de décision des clients sous-évalués, gamme de produits insuffisants et politique de communication négligée sont très souvent les principales raisons des problèmes commerciaux.

Les problèmes financiers

Souvent couplés avec les problèmes commerciaux, la sous-évaluation des besoins financiers, un plan d’investissement mal échelonné, une sous-estimation du coût de revient et une sous-évaluation des délais de paiement des clients apparaissent très régulièrement dans les causes d’échecs d’une entreprise.

 

Les problèmes techniques

Une mauvaise conception du produit ainsi qu’une absence d’évolution technique de ce dernier ou de la prestation constituent avec une compétence technique non mise à jour ou une erreur dans les choix des matériels les principaux problèmes techniques.

 

Les problèmes relationnels

Enfin, combien de sociétés ont dû arrêter leur activité à cause de problèmes relationnels entre leurs associés ou leurs employés ?

Les 4 menaces du dirigeant

En synthèse de toutes ces causes d’échecs, il existe en fait un seul processus : de mauvaises perceptions entrainent un manque d’anticipation mais aussi de mauvaises décisions conduisant inévitablement à un problème de performance.

Les 3 étapes vers la réussite

Pour modifier positivement ce processus perception-anticipation-décision-performance, les acteurs de leur réussite ont tous réalisé les 3 étapes suivantes.

Étape 1 : Je me connais moi-même

Tout d’abord, ils ont appris à se connaître et à comprendre comment ils fonctionnaient. Cela permet de se débarrasser de leurs barrières mentales. Steeve Jobs en avait fait une priorité dans sa vie. Ce qui explique pourquoi, dès son arrivée à l’université, il arrêta ses études pendant 6 mois pour partir en Inde.

Étape 2 : Unique est ma connaissance de l’autre

Apprendre en quelques minutes à comprendre l’autre est une capacité indispensable pour réussir. En effet la vie d’un projet ou d’une entreprise est avant tout une histoire humaine. Cette intelligence émotionnelle est indispensable pour réussir. D’ailleurs, voilà ce que conclut l’étude Spectrum réalisée par Garnder en 1983 : « Beaucoup de gens ayant un QI de 160 travaillent pour d’autres dont le QI ne dépasse pas 100, les premiers possédant une intelligence émotionnelle bien plus faible que celle des seconds. Or, dans la vie quotidienne, aucune forme d’intelligence n’est plus importante que celle-là. Si vous ne la possédez pas, vous choisirez mal votre conjoint, votre métier, etc… Les écoles devraient impérativement l’inculquer aux enfants ».

Étape 3 : Maitrise de mon leadership

Enfin, tous ceux et celles qui réussissent ont ce point commun : ayant une parfaite connaissance de leur vocation, ils ont lié cette dernière avec la mission de leur projet ou de leur entreprise. De ce point de départ essentiel, ils ont ensuite trouvé le style de leader qu’ils voulaient devenir puis ils se sont transformés au fil du temps pour transformer leurs échecs en apprentissage et accéder enfin à leur réussite.

Pour reprendre l’exemple de Steeve Jobs, ce dernier avait parfaitement appliqué ces 3 étapes pour obtenir au final une intuition hors du commun comme le souligne Walter Isaacson de Harvard Business Review.

« Plutôt que de se fier sur les études de marché, il a aiguisé sa version de l’empathie, une intuition intime du désir de ses clients. Il a développé sa reconnaissance de l’intuition, des sensations basées sur la sagesse expérimentale accumulée tandis qu’il étudiait le bouddhisme en Inde après avoir abandonné l’université.»

Ainsi, en appliquant ces 3 étapes de transformation, le processus perception-anticipation-décision-performance passe du cercle vicieux au cercle vertueux.

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